Journal d’Abdurrahman Gabarti pendant l’occupation française en Égypte
Journal d’Abdurrahman Gabarti – Pendant l’occupation française en Egypte – Suivi d’un précis de la même campagne par Mou’Allem Nicolas El-Turki, secrétaire du prince des Druzes. Abdurrahman Gabarti est un savant né en Égypte. Il est connu pour sa chronique qui couvre l’expédition de Bonaparte et l’occupation française en Égypte de 1798 à 1801. Témoin oculaire, il tiendra dans son journal un rapport précis et journalier des évènements, n’hésitant pas à les commenter.
Ces hommes promis au Paradis (Ahmed Khalil Jumua)
À travers ces récits poignants, explorez le voyage spirituel de ces âmes bénies qui ont embrassé la foi islamique. Leurs histoires transcendent le temps, offrant des enseignements intemporels de foi inébranlable, de dévotion profonde, et de courage intrépide.
Pour un amour éternel (Mahmûd Mehdi al-‘Istânbûlî)
Dans ce bel ouvrage qui aborde les thèmes les plus intimes, vous découvrirez tout ce qu’il faut savoir pour vivre un amour éternel selon les principes de l’Islam : du choix du conjoint, en passant par la cérémonie de mariage jusqu’aux droits et devoirs respectifs des mariés ; mais aussi d’autres sujets indispensables pour mener une vie maritale sereine.
Le livre « Tâwasîn » de Hallâj (Stéphane Ruspoli)
Le présent ouvrage offre une nouvelle édition critique du Traité, avec sa traduction française annotée. Il est complété par une introduction philosophique indispensable et par le brillant Commentaire persan de Rûzbehan de Shirâz, qui en éclairent les principales séquences. Le Tâwasîn est sans doute le plus ancien et le plus important témoignage de l’expérience spirituelle visée par les grands maîtres de la tradition soufie, gardiens de l’ésotérisme et de la tradition prophétique de l’islam.
L’imam Mâlik (Mohammad Aboû Zahra)
Ce livre retrace tout d’abord sa vie : Les études approfondies qu’il a menées depuis son enfance, ses enseignements en matière de hadîth et de fiqh, ses relations avec les califes en particulier Hâroûn ar-Rachîd qui le consultaient régulièrement.