La Grande Triade (René Guénon)
Dernier livre publié par Guénon de son vivant, il est consacré à la tradition chinoise, tout en éclairant bien d’autres voies initiatiques d’Orient ou d’Occident, y compris l’alchimie véritable. La spiritualité authentique est un facteur de réconciliation « planétaire », et son oubli ou sa négation – en Occident puis en Orient – nous a menés là où nous sommes…
La grande triade désigne le Ciel, la Terre et l’Homme (Tien-ti-jen). René Guénon en explique la portée et s’attache à expliquer les correspondances qui se trouvent dans d’autres formes traditionnelles.
Les histoires des Prophètes et Messagers
Dans ce livre, nous vous présentons les récits de 24 des plus célèbres Prophètes et Messagers cités dans le Saint Coran, allant du premier Prophète d’Allah Âdam, jusqu’au sceau des Prophètes et Messagers et leur maître incontesté, Muhammad ﷺ.
Epître sur l’intellect (Abû Nasr al-Fârâbî)
L’Épître sur l’intellect de Farabi (c. 950) était surtout connue jusqu’à récemment dans sa traduction latine éditée et étudiée par E. Gilson en 1929. Ce traité, qui eut une certaine influence sur la scolastique latine, n’avait en français fait l’objet d’aucune étude d’ensemble dans sa version arabe publiée par les soins du P. Bouyges en 1938. C’est cette étude qu’on s’est proposé de mener à bien sur la base d’une nouvelle traduction commentée.
Les fondateurs de la Pharmacologie (Nas E. Boutammina)
Le médicament moderne, dans la société actuelle est mal en point car, hélas, il est devenu un bien de consommation comme les autres, et il commence à faillir à sa mission, celle qui était pour les fondateurs de la Pharmacologie, à savoir, une protection contre la souffrance et les maladies.
La quatrième révolution industrielle (Klaus Schwab)
En soulignant les espoirs et les menaces qu’elle induit sur des champs immenses – l’intelligence artificielle, la robotique, l’Internet des objets, les véhicules autonomes, l’impression en 3D, les nanotechnologies, les biotechnologies, le stockage d’énergie, l’informatique quantique… – l’auteur dessine un nouveau référentiel pour l’homme qui doit ainsi réinventer sa manière de vivre, de travailler, de consommer. Pour Klaus Schwab, notre responsabilité est colossale et collective. À la croisée des mondes, voici plusieurs axes de réflexion pour penser et façonner notre futur autour des notions de prospérité et d’humanisme.
Confidences d’un soigneur musulman (Mohamed Dahmani)
C’est à travers des récits d’exorcismes vécus et plusieurs articles écrits dans cet ouvrage que Mohamed Dahmani transmet en toute sincérité ses moments de doutes et de joies ainsi que les questions qu’il s’est posées tout au long de son parcours. Il propose des procédés qui ont fait leurs preuves par la grâce de Dieu en s’appuyant sur une pratique rigoureuse. Une pratique qui a aidé à transcender l’anxiété, la peur, la douleur et bien des maux occultes et a permis la guérison de centaines de personnes malades, en détresse. Les révélations partagées dans ce premier tome ne se retrouvent dans aucun autre ouvrage de ce genre.
La tradition islamique de la réforme (Charles Saint-Prot)
L’ Islam est-il, comme le prétend un cliché récurrent, incapable d’évolution, marqué par le fatalisme et l’immobilisme ? Et s’il était à l’opposé des représentations caricaturales dont il est victime depuis des siècles dans le monde occidental ? Au lieu d’être la religion de la bigoterie et de la stagnation, ne serait-il pas plutôt celle de la raison et de la réforme permanente ?
Rire avec Dieu – Aphorismes et contes soufis (Sayd Bahodine Majrouh)
Attâr, Jâmî, Ibn Arabî et une quarantaine d’autres illustres soufis sont les principales sources de cette anthologie établie par le grand poète et intellectuel afghan Sayd Bahodine Majrouh, un an avant son assassinat en 1988. Les dévots, explique Majrouh, considèrent volontiers le rire comme une manifestation dangereuse, perverse et même diabolique. Pourtant, la plupart des grands soufis ont connu les vertus du rire. Leur humour possède une double fonction : à l’égard des hommes, il est un fluide spirituel, il fait « passer le courant » de la sagesse et de l’humilité ; à l’égard du divin, il se révèle un canal supérieur de communication.