Métaphysique du sexe (Julius Evola)
Après avoir traduit en italien Sexe et Caractère d’Otto Weininger, Julius Evola projeta d’en écrire une introduction qui devint, en 1958, un ouvrage à part entière : Métaphysique du sexe. Métaphysique qui s’entend selon deux acceptions : elle est « l’étude de ce que signifient, d’un point de vue absolu, soit les sexes, soit les relations entre les sexes », mais aussi « dans un deuxième sens, en relation avec son étymologie, […] la science de ce qui va au-delà du plan physique ».
Révolte contre le monde moderne (Julius Evola)
Julius Evola nous propose ici de refaire avec lui le chemin. Car, à l’inverse de la vision moderne de l’homme, qui en fait un être ayant évolué à partir d’une souche commune à celle des singes, et continuant à évoluer vers une humanité et une civilisation toujours plus avancées et libérées de la matière par la technologie, selon la Tradition, le monde moderne est l’aboutissement d’une lente et longue chute, qui a vu une civilisation lumineuse, solaire, celle de l’Âge d’or, se dégrader, dégénérer, au gré des migrations et des métissages, pour aboutir à l’Âge sombre, l’âge des structures mécanisées et des masses, celui dans lequel nous vivons, et dont nous ne pourrons espérer sortir que par le renouvellement des cycles.
Symboles et « mythes » de la Tradition Occidentale (Julius Evola)
Ce recueil réunit des études et des articles qui parurent entre 1929 et 1950, la plupart d’entre eux remontant à la décennie 1930-1940. Souvent consacrés à la tradition romaine, particulièrement chère à Evola, ces textes mettent clairement en relief la religiosité virile, sévère et solaire des anciens Romains.