Les cinq piliers de l’Islam et leur sens initiatique (Abdennour Bidar)
Abdennour Bidar nous présente cette voie de libération du regard à travers les cinq piliers fondamentaux de l’islam auquel tout musulman dans le monde se réfère : le témoignage de foi, la prière, l’aumône, le jeûne et le pèlerinage. Pour chacun de ces piliers, il nous invite à découvrir, à méditer et à vivre sa signification symbolique et initiatique.
Thérapie de l’âme (Cheikh Khaled Bentounès)
À la lumière des enseignements spirituels puisés dans la sagesse universelle du soufisme, le Cheikh Khaled Bentounes, guide spirituel de la confrérie Alawyyia, nous invite à redécouvrir la dimension essentielle de notre nature originelle que notre conditionnement culturel a fini par occulter.
Pourquoi lire les philosophes arabes – L’héritage oublié (Ali Benmakhlouf)
Lire les philosophes arabes médiévaux avec l’oeil de la philosophie contemporaine pour y trouver des af nités de méthode et de doctrine : tel est le parti pris de ce livre…
Le Harem politique – Le Prophète et les femmes (Fatema Mernissi)
« Est-ce qu’une femme peut diriger un État musulman? » Telle est la question qu’a posée la sociologue Fatema Mernissi dans son épicerie de quartier, pour s’entendre rétorquer: « Ne connaîtra jamais la prospérité le peuple qui confie ses affaires à une femme ».
Islam et démocratie (Fatema Mernissi)
Pourquoi le monde arabo-musulman a-t-il tant de mal à apprivoiser des acquis démocratiques comme l’égalité statutaire des individus, la reconnaissance du pluralisme, et la liberté de conscience ?
C’est cette énigme que la sociologue marocaine Fatema Mernissi tente ici de percer.
Sur les pas de Rûmi (Nahal Tajadod)
Dans le Masnavi de Rûmi, Nahal Tajadod a choisi trente-six récits pour leur qualité véritablement allégorique. Pour nous les présenter, elle a inventé un personnage vraisemblable, un relieur vagabond, qu’elle suit de l’âge de dix-huit ans jusqu’à ses quatre-vingt-quatre ans,
et qui devient à son insu comme une incarnation du grand poème. Grâce à son personnage, Nahal Tajadod nous entraîne dans la profondeur de Rûmi, elle en épouse l’obscurité, les sinuosités, les éclats…
Universalité de l’Islam (Eva de Vitray-Meyerovitch)
Figure majeure de l’introduction du soufisme en France, Eva de Vitray-Meyerovitch (1909-1999), qui enseigna tant à la Sorbonne qu’à l’université Al-Azhar du Caire, incarna parfaitement cet islam universel et tolérant que prônent, entre autres, des mystiques comme Rûmî. Si elle est connue avant tout comme traductrice, notamment du grand maître persan, elle fut aussi une savante aguerrie, comme en témoignent ses nombreux articles. Ces derniers, publiés dans des revues, étaient jusqu’à aujourd’hui peu accessibles. Jean-Louis Girotto, spécialiste de son œuvre, en a réuni ici onze parmi les plus importants. Écrits sur plus de trente ans, évoquant l’« Approche symbolique du Coran », « Le chemin des contes soufis » ou encore « La soif du pur amour », ils témoignent de la richesse et de la cohérence de son cheminement intellectuel et spirituel.
La prière en Islam (Eva de Vitray-Meyerovitch)
L’auteur nous présente ici une synthèse aussi concise qu’érudite sur la prière musulmane. Ayant situé la prière parmi les cinq « piliers » de l’Islam, elle décrit les modalités de la prière rituelle et décrypte son symbolisme pour en dégager les sens théologique et mystique.
Les sept cités de l’amour (Farîd-ud-din ‘Attâr)
Les Sept Cités de l’amour rassemble cent des plus beaux poèmes (ghazals) que ‘Attâr a consacrés au thème intemporel de l’amour. Amour mystique, mais aussi amour charnel, amour-passion dans lequel l’âme se perd pour mieux se retrouver. Il s’agit d’un aspect majeur de l’œuvre du grand maître soufi, jusqu’alors complètement inédit en français.
Le langage des oiseaux (Farîd-ud-din ‘Attar)
Ce célèbre récit initiatique, entrecoupé de contes et d’anecdotes, demeure à jamais l’un des joyaux de la spiritualité musulmane. De son auteur, ‘ Attar, poète et mystique persan, auteur du Livre divin (Spiritualités vivantes, le grand Rûmî disait : « II fut l’âme du soufisme, je ne fais que suivre sa trace.