En son fondement, la science “doit toujours se remettre en question”.
Ainsi, le chimérique consensus si souvent invoqué devient puéril et superflu dans un domaine aussi dynamique que les sciences, dont les dogmes ne sont pas élus par référendum. Il n’y a que le vrai ou le faux, et un doute constant entre les deux ; un interstice trop souvent coincé entre la véritable recherche et les interêts politico-capitalistes.
Les charlatans ambulants vendaient déjà leur huile de serpent en guise d’élixirs miracles au 19ème siècle, mais la fraude n’a jamais ralenti. Grippe espagnole, vaccins approximatifs, molécules dangereuse, tests sur les humains, déversements de chemtrails, réchauffement climatique imaginaire…Y’a-t-il un thème sur lequel on ne nous a pas menti 100 fois ?
Si les médecins ne comprennent pas grand chose à la Grande Plandémie de 2020-2022, les climatologues sont tout autant perdus en ce qui concerne le climat. Ils ignorent eux aussi qu’il s’agit essentiellement là d’enjeux politiques, et pas du tout scientifique.
Préparez-vous maintenant à la panacée vitriolique corrodant toutes vos anciennes convictions scientifiques, dont l’abattage de la théorie des virus aériens de Pasteur par la DCA (Doctrine microbienne) de Béchamp.
Nous sommes saturés de l’huile de nos serpents.
- L’HUILE de nos SERPENTS
” Plus d’un siècle d’enseignement de sciences imaginaires a formé des ignorants au service du pouvoir. “
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Ce livre complète une trilogie amorcée par « La Déprogrammation » et « Guerres et Mensonges », que je lubrifie ici avec « L’huile de nos serpents ».
Cette fois, le plongeon dans la recherche pour le troisième opuscule m’a mis face à des atrocités sans motivation, des expérimentations sans empathie, des complots inhumains, dont le seul résultat tangible fut un charnier inutile et vain étalé sur une quinzaine de décennies.
La population générale n’a quasiment aucune notion de la science réelle, tordue et pliée dans tous les sens par le pouvoir et pour le pognon.
Rappelez-vous qu’il y a quelques siècles à peine, on traitait les épileptiques et les malades mentaux indésirables en les brulant sur le bûcher de la sorcellerie. Pas parce que le lien était prouvé, mais parce que l’église l’avait décidé ainsi.
Huit siècles après les bûchers, nous en sommes encore au même point, en plaçant des hypothèses pour une science qui continue d’être aux services de l’eugénisme politique.
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