Existe également qu’en français, en deux versions, de la même édition:

Format Poche (Français uniquement) : https://deenshop.be/boutique/livres/jurisprudence/la-voie-du-musulman-francais-cheikh-abu-bakr-al-jazairi/

Grand Format (Français uniquement) : https://deenshop.be/boutique/livres/jurisprudence/la-voie-du-musulman-francais-cheikh-abu-bakr-al-jazairi/

La voie du musulman par Sheikh Abû Bakr Al-Jazâ`irî

« Minhâj » Al-Muslim » (La voie du musulman) comprend cinq parties, chacune se composant de plusieurs chapitres. La première est consacrée à la foi; la deuxième au comportement; la troisième à l’éthique; la quatrième aux pratiques religieuses; et la cinquième aux rapports sociaux. Il englobe ainsi les fondements et les branches de la religion musulmane.

Décrivant la méthode qu’il suivie en composant son livre, le Sheikh Abû Bakr AL-Jazâ`iri – que Dieu l’ait en sa miséricorde – dit:  » J’ai suivi , avec l’assistance de Dieu, la bonne voie. Ainsi sans les chapitres relatifs au dogme, je n’ai pas dévié des préceptes des Anciens qui ont la probation unanime de la Communauté.

Celui qui sien ce dogme est sûr d’obtenir le salut, car il est le dogme auquel adhérait le Prophète (sws), ainsi que ses Compagnons et leurs successeurs. Ce dogme est également en adéquation avec la nature primordiale et la religion pure apportée pat tous les Prophètes et pour laquelle les livres ont été révélés.te,

 » Dans la parie réservée à la jurisprudence b- pratiques religieuses et rapports sociaux-, j’ai fait de mon mieux pour rechercher l’avis le plus juste et le plus valide dans les œuvres des illustres imams (Abû Hanîfa, Mâlik, Ash-Shâfi`î et Ahmad; Dieu leur accorde sa miséricorde) toutes les fois qu’il s’agissait d’une question qui ne s’appuyait pas sur un texte explicite ou sur un argument manifeste dans le Livre de Dieu et dans la Sunna de Son Envoyé.

Ainsi , tout musulman qui suit les enseignements exposés dans ce livre est, sans aucun doute, sûr de se conformer à la loi divine. Mon dessein et de réunir dans une seule voie, nos frères pour qu’ils constituent une unité où concordent leurs idées, communient leurs âmes, et interagissent leurs sentiments. »